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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Bro Gernev

Cornouaille

  Mur

Mur de Bretagne

 

pajenn bet digoret d'an 29t a viz Eost 2013 page ouverte le 29.08.2013

* forum du site Marikavel : Academia Celtica 

dernière mise à jour 09/01/2024 18:03:34

Définition : commune de la Bretagne historique, en Haute-Cornouaille / Kernev Uhel, en Poher / Bro-Boher; Évêché de Quimper.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor, arrondissement de Guingamp; chef-lieu de canton; sur le Blavet et la Poulancre.

Code postal : 

Superficie : 2929 ha. 3070 ha (Ed. Flohic) 2980 (Delattre)

Population : 4000 'communiants' vers 1780 (y compris ceux de Saint-Connec et de Saint-Guen, ses trèves); 2333 hab. en 1860; 2400 hab. en 1863; 2508 hab. en 1878; 2581 hab. en 1881; 2528 hab. en 1890; 2075 hab. en 1968; 2091 hab. en 1982; 2087 hab. en 1990; 2090 hab. en 1999; 

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Extrait de J. Rigaud

Armoiries-Blason / Ardamezioù-Skoed 

* Régis de Saint-Jouan (1990) : "d'azur à une croix engrêlée d'or, à un franc-canton de gueules, chargé de quatre macles d'argent". Elles s'inspirent des armes que portait la famille de Mur au Moyen Age.

* Daniel Delattre (2004) : "d'azur à une croix engrêlée d'or; au franc-quartier cousu de gueules chargé de quatre macles d'argent"

* Froger & Pressensé (2008) : "d'azur à une croix engrêlée d'or; le premier canton cousu de gueules à quatre macles d'argent posées 2 et 2". D'après les armes de la famille de Mûr (XIIè siècle) et rappel des Rohan (macles).

* JC Even : "e glazur, e groaz goñchek en aour; ar c'honk kentañ gwriet en gwad, e beder mailhenn en arc'hant, 2 -  2".

Il semble que le blason d'azur à la croix engrêlée d'or soit inspiré de celui de la famille de la Rivière.

Paroisse / Parrez : l'église est sous le vocable de saint Pierre.

Histoire / Istor

* Ogée (1780) :  Mur; sur une hauteur; à peu de distance de la route de Pontivy à Corlai; à 18 lieues 1/3 à l'E.-N.-E. de Quimper, son évêché [aujourd'hui Saint-Brieuc]; à 21 lieues 1/4 de Rennes, et à 3 lieues de Pontivy, sa subdélégation. Cette paroisse, dont la cure est à l'Ordinaire, ressortit au siège royal de Ploërmel, et compte 4000 communiants, y compris les habitants de Saint-Connet et de Saint-Guen, ses trêves. M. le duc de Rohan en est le seigneur. — Les basses-justices de Coëtuhan et Delaunay [de Launay*] appartiennent à M. de Noyan, et la basse justice de la Roche-Guehennec, à M. de Moyan. — Le territoire de Mur est montagneux au nord de son bourg; mais au sud, à l'est et à l'ouest, on remarque des terres bien cultivées et fertiles, et des landes très-étendues, qui paraissent mériter les soins du cultivateur. — La seigneurie de Mur est très-ancienne; elle appartint d'abord aux comtes de Cornouailles, issus de la maison de Bretagne [et aux comtes de Poher], Ouën, sœur [tante] d'Hoël II, duc de Bretagne, épousa, vers l'an 1072, Eudon, comte de Cornouailles [de Penthièvre et de Tréguier]; leurs enfants furent très-puissants en Bretagne et tenaient un rang distingué à la cour des ducs. Ils firent, en Basse-Bretagne, différentes branches, connues sous différents noms. Celle qui possédait la seigneurie de Mur, à titre de comté, et dont le chef prenait quelquefois celui de sire de Corlai, était ordinairement connu sous le nom de comte de Launaye-Mur. Christophe de Mur, fils puîné de Garcis de Mur et de Béatrix de Rostrenen, qui vivaient en 1357, épousa Louise, fille de Thibaud de la Rivière, maison située en la paroisse d'Auverné, au diocèse de Nantes. Son fils Geoffroy prit le nom de la Rivière, que ses descendants ont toujours porté depuis, selon les conventions du contrat de mariage de son père. Christophe de la Rivière épousa, en secondes noces, Olive de Savigné. De ce mariage sortit la branche des seigneurs de la Rivière-d'Auverné, branche qui a produit des hommes illustres. Cette famille a donné plusieurs grands officiers de la couronne, des lieutenants-généraux, des évêques et des gouverneurs de places fortes : ils ont joué un rôle considérable à la cour des ducs. En 1450, Jean de la Rivière était chancelier de Bretagne. Robert de la Rivière fut évêque de Rennes en 1457. Les actes des États de 1462, sous le duc François II, nous apprennent que les seigneurs de la Rivière étaient sergents féodés du duché, dignité alors considérable. En 1667, Yves-Ollivier de la Rivière, chevalier, baron du Plessis, fut nommé gouverneur de Saint-Brieuc, et eut la survivance pour Charles-Yves de la Rivière, son fils aîné. Par lettres-patentes de 1696, et autres de surannation du 22 juin 1699, la seigneurie de Plœuc fut érigée en comté, en faveur d'Yves-Ollivier de la Rivière, marquis du Plessis et de la Rivière, gouverneur de Saint-Brieuc. Le comte de la Rivière fut reçu, en 1757, capitaine-lieutenant des mousquetaires noirs. Le gouvernement de Saint-Brieuc est possédé par des seigneurs de cette maison, depuis 1667. Leurs alliances sont avec les maisons de Rohan, Rostrenen, Kergorlay, Goyon, Beaumanoir, Tornemine, etc. Cette famille est aujourd'hui divisée en trois branches : celle du marquis de la Rivière, qui est l'aîné; celle du comte de la Rivière, gouverneur de Saint-Brieuc, et celle des Rivière-Beauchêne.

En 1650, N. Galerne était recteur de Mûr. Ce pasteur se rendit recommandable par mille vertus et la plus solide piété. Il fit bâtir sur le tombeau de Saint-Elouan, que l'on nomme Saint-Guen, une chapelle qui est aujourd'hui trêve ou succursale de la paroisse de Mûr.

* Marteville et Varin (1843) : MUR {sous l'invocation de saint Pierre); commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins ses trêves Saint-Connec et Saint-Guen (voy. ces mots), devenues communes; aujourd'hui cure de 2è classe; chef-lieu de perception; brigade de gendarmerie à pied. — Limit. : N. Caurel, Saint-Gilles-Vieux-Marché, Merléac, Saint-Guen; E. Saint-Guen, Saint-Connec; S. Kergrist, Neuillac; O. Saint-Aignan, Caurel, partie du Blavet canalisé. — Princip. vill. : Poullihet, Kerberhic, Keriel, Treffaut, Kervos, Kermarec, Squiriec, Lisquily, Nevert, Boconnaire, Coëtdrien, Kerguinal, Curlan, Kerhotesse, Kerguillaume, Cosquer-Kerguillaume. (V. le Supplément pour les divisions cadastrales.) — Moulins d'Embas, de la Roche, Launay, du Guer, de Poullihet, à eau. Le bourg de Mur est situé sur une hauteur, à peu près au centre de la commune dont il est le chef-lieu, et sur la route royale n° 187, dite de Vannes à Lannion. Cette paroisse est dite dans les anciens titres Ecclesia de Muro. Cependant Mûr nous parait venir du celtique mur, pour meur, grand; et non, comme semble l'indiquer le nom latinisé, d'un mur quelconque.— Il y avait avant 1789 trois chapelles qui existent encore, et qui sont desservies; ce sont, 1° Saint-Jean-du-Mur, a environ 3,500 mètres au sud du bourg, et sur la même route où celui-ci est placé; 2è Sainte-Suzanne, au nord-ouest de Mûr, et aussi sur la route de Vannes à Lannion, remarquable par un élégant clocher; 3è enfin Notre-Dame-de-Pitié.— Launay-Mur était, à ce qu'il paraît, le fief fondateur de cette paroisse : il n'existe plus que les douves de cet ancien manoir, qui a dû être détruit vers le XIIIè siècle. — II y a deux menhirs près du village de Botrain. — La principale industrie de cette commune consiste dans l'extraction et la vente d'ardoises, qui sont fort estimées, et qui ont la réputation de ne pas favoriser l'oxidation des clous. — II y a foire le troisième vendredi d'avril, le samedi après la Mi-Carême, le lundi après le 6 juillet, enfin le troisième vendredi d'octobre. — Géologie : schiste argileux. — On parle le breton.

* Anonyme (1863) : MUR, 2,533 hab.; — par les 5° 19' 24" de longitude O, et par les 48° 12' 12" de latitude N.; — bornée au N. par Caurel et Saint-Gilles-Vieux-Marché; à l'E. par Saint-Guen et Saint-Connec; au S. par le Morbihan et à l'O. par le Morbihan et par Caurel; — traversée par le canal de Nantes à Brest; par les routes impériales N° 164 bis et 167, et par le chemin de grande communication N° 43; — école de garçons, 104 élèves; de filles, 75 élèves; — chef-lieu de canton et de perception; — cure de 2è classe; justice de paix; résidence d'un notaire; brigade de gendarmerie à cheval; bureau de distribution des lettres; comice agricole; bureau de bienfaisance; — dépendait autrefois de l'évêché de Quimper; — on parle le breton; — marché le vendredi; foires le le 2è vendredi d'avril, le samedi après la mi-carême, le 23 juin, le lundi après le 6 juillet el le 3è vendredi d'octobre. — Territoire élevé, très-accidenté, composé d'une infinité de mamelons coupés de vallées profondes et traversé par la rivière de Poulancre. Il est plus fertile dans le sud que dans la partie opposée. Son sol deviendrait très-productif, s'il était cultivé avec plus de science des procédés nouveaux et perfectionnés. Sous ce rapport, les agriculteurs peuvent trouver de bons enseignements dans le bel établissement rural de Kermur, créé en vue de l'exploitation de 160 hectares de landes au milieu desquelles il est construit, dans la situation la plus pittoresque, sur le coteau qui forme le versant de la butte si élevée de Menez-Niez. — Le bourg de Mûr présente une population d'environ 600 âmes réunissant toutes les professions et industries habituelles aux localités de ce genre. Son église, située au centre de l'agglomération, est dans le délabrement le plus complet; elle a pour patron saint Pierre. On remarque, au-dessus de son porche, l'écu des Rohan. — La commune possède les chapelles de Saint-Jean, de Notre-Dame de Pitié et de Sainte-Suzanne. Nous appellerons l'attention sur cette dernière, dont la construction remonte au XVIIè siècle et dont le fondateur a été membre de la maison de Rohan. Enfermée dans une enceinte murée, plantée de chênes séculaires, elle est remarquable par l'élégance de son clocher, par les peintures de son lambris représentant l'histoire de sa patronne et par une descente de croix en bas-relief. Le pardon, qui se tient le dimanche après le 6 juillet, près de cette chapelle, attire non-seulement une grande affluence, mais toutes les paroisses du canton s'y rendent processionnellement et bannières en tête. — L'extraction des ardoises, qui occupe plus de 70 ouvriers, constitue la principale industrie de Mûr. Il est d'autant plus à regretter que les carrières qui les produisent ne soient pas exploitées avec plus de soin et de méthode, qu'elles sont d'excellente qualité et passent pour ne pas oxyder les clous qui les fixent sur les couvertures. — Le canal de Nantes à Brest traverse la commune, et l'on vient d'établir un embarcadère au lieu dit Penerpont. — On ne voit plus que les traces des douves du château de Launay-Mûr, siège de l'ancienne juridiction de ce nom, qui fut détruit, dit-on, vers le XIVè siècle. — Près du village de Botrain, se trouvent deux menhirs. — Dans les landes de Menez-Niez, on a récemment recueilli un coin en bronze et une boule en pierre auxquels quelques personnes ont attribué une origine celtique. — Points culminants : Kerguillaume, 258 m.; Kerguinal, 169 m.; la Ville-Neuve, 160 m.— Géologie : Schiste ardoisier, objet d'une importante exploitation; grès a l'ouest. — Maires : Ont successivement rempli ces fonctions, MM. Fraboulet, Henrio, et depuis 1830, Calvary-Tilan, maire actuel.

* Éditions Flohic : 

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Maires de Mur : 

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Extrait de Frotier de la Messelière (1933)

Patrimoine. Archéologie / Glas. Arkeologiezh

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Église saint Pierre Iliz sant Per
Menhir de Botrain Peulven Botren
Menhir de Boconnaire Peulven
Allée couverte de Coët-Gorrec (classée le 8 novembre 1956) Lia Koed-Gorreg
Motte de Castel-Gestin Mouden Kastel-Iestin
Launay-Mûr (traces) Gwern-Mur (roudoù)
Chapelle Sainte Suzanne (1496-1694-XVIIIè); classée le 4 juin 1952

jour du pardon : 6 juillet

Chapel Santez Suzanna

deiz ar pardon : 6t a vie Gouere

Fontaine Sainte-Marguerite (XVIIIè) Feunteun santez Marc'harid 
Chapelle et fontaine Saint Jean (1762-1803) Chapel ha feunteun sant Yann
Chapelle Notre-Dame de Pitié / Pénity (1729) Chapel Itron Varia a Druez
Château de la Roche-Guézennec (XVIIè) Kastell ar Roc'h-Gwezenneg
Manoir de Botrain; puits (1766) Maner Botren
Manoir de Kerdanio (XVIIIè) Maner Kerdanioù
Ferme de Lisquilly (1722) inscrite le 21 septembre 1987 Menaj Lezkilli
Barrage de Guerlédan (début XXè s.)  

Étymologie / Gerdarzh

* Albert Dauzat et Charles Rostaing (1963; 1978 : "Lat. murus, mur; rappelle en général une fortification, le plus souvent d'origine romaine et préromaine".

* Régis de Saint-Jouan (1990) : "Mur, 1368; Mûr, 1861, 1862; Mur-de-Bretagne, 1856; Mûr-de-Bretagne, 1957"

* Bernard Tanguy (1992) : "Eccl. de Mur, 1280; par. de Mur, 1283, 1284; Mur, v. 1330; gallo et breton Mur"

"... Un compte de 1732 mentionne, de fait, les ruines d'un "vieux château" englobé dans l'enclos de la chapelle.

"Mais si la localité a sans doute commencé à prendre de l'importance à l'époque féodale, de toute apparence ses origines remontent à une époque plus reculée. Comme Mur-de-Barrez (Aveyron) et Mur-de-Sologne (Loir-et-Cher), son nom procède du latin murus "mur". Emprunté, outre par le breton, par l'irlandais et le gallois, langues où il a le sens de "rempart", le terme dénonce une fortification, le plus souvent romaine ou pré-romaine. C'est le cas du Mur, à Carentoir (Morb.), village au croisement de deux voies romaines, où existe un retranchement et où ont été mis à jour les restes d'un temple.

Bien que des vestiges romains n'y aient pas été découverts à ce jour, il y a cependant de fortes présomptions que Mûr doive son origine à une station romaine sur la voie de Rennes à Carhaix. Celle-ci, après avoir franchi le ruisseau de Poulancre au sud de Kerhotesse, passait à 30 m au nord de l'église, puis près de la chapelle Sainte-Suzanne et se dirigeait vers Kerguichard et, laissant la ferme sur la gauche. Sur cette voie venait en outre s'embrancher, peu avant l'église, un autre itinéraire conduisant à Corseul".

* Erwan Vallerie (1995) : Mur, 1283, 1368, 1516, 1536; Meur, 1630

* Éditions Flohic : "du breton muriou, terme lié à la présence de ruines, emprunté au latin, murus, mur"

* Hervé Abalain (2000) : "de murus, "mur, rempart"; désigne une fortification romaine ou pré-romaine"

* Daniel Delattre (2004) : "Mûr-de-Bretagne, depuis 1957"

* Jean-Yves Le Moing (2007) : "le vieux breton mor, mur "grand" évolué en meur se trouve dans Mûr-de-Bretagne"

Personnes connues Tud brudet
Jean de la Rivière

chancelier de Bretagne, 1450

 
Robert de la Rivière

évêque de Rennes, 1457

 
Pierre-Luc FEITU

Mûr, 16.04.1868 / 02.02.1937

 
René LE CERF

Paris, 21.11.1846 / Paris 04.03.1901

 
Ernest LE BARZIC  

Armorial * Ardamezeg

   
de Beaucours Rohan de la Rivière de Guerguézangor Le Cerf

Seigneurs dudit lieu, en Bothoa; de la Rivière, en Ploësquellec; de Lopuen et Roc'hcleuz, en Duault; de Lostalen, en Peumeurit-Quintin; de Kermorvan, en Mur; du Cosquer, en Lignol; de Kermarker et Kerourhin, en Ploërdut

"de gueules à trois éperviers d'argent, becqués, membrés et grilletés d'or"

"en gwad e zri sparfell en arc'hant, pigoset, iziliet, ha grizilhonet en aour"

- Guillaume, obtient lettres de rémission en 1505, pour avoir tué Nicolas Garic, son neveu, époux de Jeanne de Beaucours, remariée à Gilles du Matz, maître d'hôtel de feu duc François II.

La branche de Kermarker fondue vers 1650 dans Hervé.

- François, débouté à l'intendance en 1699

(PPC)

       

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Les blasons ou triskels des fenêtres blanches sont des liens actifs

Communes du canton de Mûr de Bretagne Parezioù kanton Mur
Caurel Kaorel
Mûr-de-Bretagne Mur
Saint-Connec Sant Koneg
Saint-Gilles-Vieux-Marché Sant Jili Kozhvarc'had
Saint-Guen Sant Gwen

Communes limitrophes de Mur Parrezioù tro war dro Mur
Caurel / Kaorel Saint-Gilles-Vieux-Marché / Sant-Jili-Kozhvarc'had Merléac / Merleag Saint-Guen / Sant-Gwen Saint-Connec / Sant-Koneg Kergrist Neuillac / Neulieg Saint-Aignan / Sant-Inan

Sources / Eien :

* OGEE : Dictionnaire de Bretagne; 1780. 

* MARTEVILLE et VARIN : continuateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.

* Anonyme : Dictionnaire des communes des Côtes du Nord, vers 1863.

* Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878.

* Adolphe JOANNE : Dictionnaire des communes du Département des Côtes du Nord. 1886.

* J. RIGAUD : Géographie historique des Côtes du Nord. 1890; Francisque Guyon, librairie-éditeur. St Brieuc. Réédition  La Tour Gile. 1995.

* René COUFFON : Recherche sur les églises primitives. dans Bulletins et Mémoires de la Société d'Émulation des Côtes-du-Nord. 1946.

* Albert DAUZAT et Charles ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Larousse, 1963; Librairie Guénégaud, 1978.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes. Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990.

* Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Côtes d'Armor. 1998.

* Hervé ABALAIN : Noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

* Daniel DELATTRE : Les Côtes d'Armor. Les 372 communes. Éditions Delattre. 2004.

* Jean-Yves LE MOING : Noms de lieux de Bretagne. Editions Christine Bonneton. 2007.

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et Ille et Vilaine. 2008.

Liens électroniques des sites Internet traitant de Mur-de-Bretagne / Mur

* lien communal : 

* Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Mur_(kumun)

* autres liens : 

- Centre généalogique du Poher : http://cgh.poher.free.fr

* forum du site Marikavel : Academia Celtica 

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* pour le blason de Mur : composition JC Even sur logiciel Genhéral5. 

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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